Pour de nombreux utilisateurs de Web3, participer aux actions technologiques traditionnelles n'est pas facile. Des processus compliqués, des barrières régionales et des restrictions de temps de négociation découragent souvent les gens.
GOOGLX est né de cette demande. Il permet aux utilisateurs de participer aux variations de prix d'Alphabet en utilisant des stablecoins de manière familière, brisant ainsi les barrières de la finance traditionnelle.
GOOGLX est un Jeton de suivi des prix avec les caractéristiques principales suivantes :
Sur la chaîne, son prix est déterminé par l'offre et la demande du marché ainsi que par les données de prix sous-jacentes, permettant aux utilisateurs d'acheter et de vendre librement, et de créer des combinaisons de stratégies.
La section xStocks de Gate promeut pleinement un mécanisme de trading d'actions par tokenisation, et GOOGLX est l'un de ses principaux actifs listés.
Les utilisateurs peuvent actuellement échanger des contrats perpétuels GOOGLX/USDT avec un effet de levier allant jusqu'à 10x, et une série d'activités connexes ont été lancées :
La plateforme propose également une variété de tableaux de bord de données pour aider les utilisateurs à prendre de meilleures décisions stratégiques.
GOOGLX n'est pas un cas isolé. Actuellement, plusieurs actions technologiques effectuent une cartographie des actifs sur la chaîne, telles que AMZNX, TSLAX, QQQX, etc. Les actions tokenisées deviennent un nouveau type d'actif.
Dans cette tendance, l'activité du marché de GOOGLX est susceptible de continuer à augmenter.
Conclusion : GOOGLX est un produit représentatif de la fusion entre les prix des actions des entreprises technologiques et la blockchain. À mesure que les demandes des utilisateurs en matière de flexibilité et de transparence augmentent, des produits tokenisés comme GOOGLX pourraient devenir la nouvelle norme pour les investissements futurs. En choisissant la plateforme Gate xStocks, les utilisateurs peuvent saisir les dividendes d'opportunité apportés par cette vague de tokenisation.