Deutsche Bank avertit : la latence de la Réserve fédérale (FED) à abaisser les taux d'intérêt pourrait faire grimper le taux de défaut des entreprises à un niveau record en 12 ans.
Le 9 juin, les stratégistes de Deutsche Bank ont écrit qu'à mesure que l'impact du report de la baisse des taux de la La Réserve fédérale (FED) s'élargissait à l'avenir, des coûts d'emprunt plus élevés auraient un impact sur les entreprises américaines.
Actuellement, l’attente d’un atterrissage en douceur a conduit à la majorité des défauts sous la forme d’échanges d’actifs en difficulté avec des taux de recouvrement plus élevés. Mais dans le contexte d’une inflation supérieure à l’objectif, d’une forte incertitude politique et d’une hausse des primes de terme souverain, la probabilité d’un atterrissage en douceur diminue.
Deutsche Bank estime que le taux de défaut des obligations spéculatives pourrait atteindre 5,5 % vers le milieu de l'année prochaine, ce qui signifie que le taux de défaut pondéré par les émetteurs des obligations spéculatives atteindra son plus haut niveau depuis 2012.
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Deutsche Bank avertit : la latence de la Réserve fédérale (FED) à abaisser les taux d'intérêt pourrait faire grimper le taux de défaut des entreprises à un niveau record en 12 ans.
Le 9 juin, les stratégistes de Deutsche Bank ont écrit qu'à mesure que l'impact du report de la baisse des taux de la La Réserve fédérale (FED) s'élargissait à l'avenir, des coûts d'emprunt plus élevés auraient un impact sur les entreprises américaines.
Actuellement, l’attente d’un atterrissage en douceur a conduit à la majorité des défauts sous la forme d’échanges d’actifs en difficulté avec des taux de recouvrement plus élevés. Mais dans le contexte d’une inflation supérieure à l’objectif, d’une forte incertitude politique et d’une hausse des primes de terme souverain, la probabilité d’un atterrissage en douceur diminue.
Deutsche Bank estime que le taux de défaut des obligations spéculatives pourrait atteindre 5,5 % vers le milieu de l'année prochaine, ce qui signifie que le taux de défaut pondéré par les émetteurs des obligations spéculatives atteindra son plus haut niveau depuis 2012.